Pourquoi
1er janvier 2012. — Las des réseaux sociaux, outré du temps saccagé à naviguer, lire, écrire et parler gros, tout en surface, trop vite, trop court, trop mal, comme en des étourdissements résiduaires et sous l’emprise des nerfs, je me suis souvenu. Me sont revenus les temps de ma jeunesse et de ma première maturité, alors que nous ne vivions pas au cœur des appareils, dans le ventre de la machine, — et maintenant d’une machine sans corps ni lieu.